Le Jour de la Terre

Bonjour à vous tous..hier j’ai pensé à la Plenete Terre beaucoup ! La Terre , qui nous donne tout ! Dont nous oublions souvent est que l’avenir de la terre est aussi notre avenir !
À bientôt..
Ce poeme est aussi une dédicace à tous les professeures qui m'ont enseigné le francais..c'est simple mais j'y ai mis toutes mes émotions ,,j'espère qu'il leur plait !
Je m'excuse des "petites" fautes !
Girish



Ayant besoin de tout
Ayant besoin de tout,
La Terre est la mienne,
Elle est à moi, pour que je puisse la dévorer,
Ça se cache , ce talent, dans mon gemome,
C’est ma manière de vivre,
Qui me fait libre,
À faire tout ce que je veux,
Je n’aime pas les suivre,
Ces droits de la nature,
Tuer les autres,
Les jetter par le fenêtre,
Les mettre dans les cages,
Cela m’amuse breaucoup,
Pourquoi pas, ayant besoin de tout ?
Il n’y a pas que moi,
Ayant un cerveau,
Si détruisant, et si beau,
Qui fait construire des barrages,
Pour réserver l’eau,
C’est une dommage,
Créer des barrages,
Qui détruisent les bois,
Mais est-ce que n’est pas vrai,
Que cette eau est à moi ?
Limiter mes besoins,
C’est trop dificile pour moi,
Cette pensée est vraiment trop loin,
Je n’y ai pensé,
Parce que je besoin de tout,
Pour me déplacer,
De temps en temps,
De bout à bout,
Des avions, des voitures, des trains,
J’en ai vraiment besoin,
Même si le terrains,
Manquent du pétrole ,
Je le touverai quelque autre part,
N’importe où !
Même si les autres ,
Deviendraient totalement fous,
Je bourrerai les côtes
À la Terre,
Je tire le pétrole,
À côté de la mer,
Et si le pétrole s’y renverse,
Qu’est-ce que puis-je faire ?
Si l’océan devient noir,
Je me fiche parce que,
J’ai ma proper baignoire !
Cette baignoire pleine d’eau froide,
Me protège du réchauffement globale,
Tant pis pour les oiseaux ,
Qui doivent nager dans l’eau,
Pleine de pétrole noir,
Et qui n’ont pas de droit,
À leur proper baignoire !
C’est vraiment impondérable,
Qu’on m’accuse d’être intolérable,
J’ajoute seulement un peu de CO2,
Pour réaliser mes besoins,
Et si les autres espèces ne l’ainment pas,
Tant pis pour eux, je me fiche de rien !